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39 messages.
Coline Brogé Coline Brogé de Paris a écrit le 27 juillet 2023 à 17h54
Merci pour ce témoignage nécessaire et fort. Témoignage à la fois d'un vécu douloureux et d'un système effrayant. J'en ai aimé la lecture fluide et franche. Merci
F. F. a écrit le 11 avril 2023 à 14h01
Bonsoir, je viens de finir votre livre et je tenais à vous en faire l'éloge. J'ai beaucoup apprécié sa lecture, je trouve qu'il montre bien que vous étiez encore une enfant au début de votre relation avec M. Votre style est fluide, très agréable à lire et on se prend à sa lecture. Un point qui a troublé : vous ne dites rien de vos relations adultes, après le sculpteur, comme si vous étiez restée définitivement chaste. Ce serait bien triste si c'était le cas. Merci encore de cette œuvre, nécessairement comparée à celle de Vanessa mais très différente : on sent davantage votre souffrance.
Blandine A. Blandine A. a écrit le 16 janvier 2023 à 15h02
Livre nécessaire Un livre qu'il faut lire absolument pour comprendre encore mieux le cas Matzneff et la complaisance de toute une époque. C'est incroyable qu'aucun éditeur n'ait voulu le publier et que l'auteur se soit retrouvée dans une telle solitude. Bravo à elle pour son courage et ses qualités d'analyse et d'écriture!
JRdS JRdS a écrit le 7 décembre 2022 à 15h06
... votre "voix" est cohérente. Vous ne prétendez pas "faire parler" l'adolescente, vous êtes l'écrivaine adulte, non celle que vous avez été et le point de vue reste cohérent. Hélas, ce point de vue est d'une lucidité effroyable et tous les personnages qui font partie de cette histoire sont montrés sans la moindre concession. ...Je vous demande de pardonner mon outrecuidance en suggérant, surtout, que vous gardiez et développiez la description "clinique", sinon chirurgicale, du mécanisme mis en œuvre par le manipulateur. C'est déjà, de mon point de vue de lecteur, la partie la plus saisissante de votre récit. L'histoire épouvantable du dispositif que ce type met en place pour vous faire écrire des lettres "d'amour" (!), pour ensuite les piller, les retourner contre vous et vous en priver, voilà ce que j'ai trouvé de plus effrayant, avec les autres procédés de manipulation psychologique. C'est un processus de "zombification" et il est très rare (à ma connaissance) de trouver un bon livre l'exposant de l'intérieur (le cas des phénomènes sectaires mis à part).. Les appuis dont ce pédophile a bénéficié et leur nécessaire dénonciation sont une autre entreprise... bien plus dangereuse, dont d'autres, plus solides, y compris la justice, doivent se charger en premier. Je ne veux pas dire que je trouve inutile votre effort pour les démasquer, je pense seulement que ce travail pourrait être mené indépendamment de votre récit principal.
JR JR a écrit le 24 novembre 2022 à 15h02
... votre livre est un livre puissant. On croit votre parole, on est contraint de croire à votre souffrance, elle emporte notre empathie, au-delà des différences de sexe (je suis un homme) et d'âge (je fais partie d'une génération probablement plus proche de celle de votre père, ou peut s'en faut, que de la vôtre). Il est écrit et il est très bien écrit. La preuve par neuf réside en ceci que l'on ne perd pas son temps à lire impatiemment, comme je me suis surpris à le faire, un livre dont on connaît par avance, grosso modo, le script de l'histoire depuis son début jusqu'à son dénouement. Mais il m'a tenu en haleine. C'est évidemment la manière de l'écrire qui change tout. Je me soucie de constater que vous avez pu écrire un beau livre et le publier, ce qui est une belle réussite, mais vous avez dû le faire à compte d'auteur, ce qui le prive pour une bonne part de ce relais essentiel que sont les chaînes de distribution et des caisses de résonance que vous savez. Tandis qu'un texte médiocre, un artefact, occupe un espace démesuré, votre livre mériterait mieux. La France a choisi son "héroïne" dans ce triste feuilleton.
Roumanoffbe Roumanoffbe de (sur Babelio) a écrit le 21 juillet 2022 à 12h24
Un livre touchant et révélateur sur une époque (pas totalement révolue) dans laquelle tout était permis et où les pervers étaient favorisés dans leurs comportements abjects et quand quelqu'un osait s'interposer et dire non, ce n'est pas normal, cette personne était mise au ban de la société, un comble quand on sait les dommages causés. Ces dernières années, la parole se libère et la tendance tend à s'inverser, ce sont les pervers qui sont mis au ban de la société, mais il n'est pas encore acquis que la victime ne devrait pas se battre bec et ongles pour se faire entendre et se défendre, comme si le poids de ce qu'elle a vécu n'était pas encore assez lourd qu'il fallait encore lui rajouter des charges supplémentaires. Décidément, le monde des humains est plutôt indigeste et le monde de l'édition l'est tout autant. Shame on you.
@Pizzicata1 @Pizzicata1 a écrit le 15 mai 2022 à 15h32
Votre livre est excellent et nécessaire. J'espère que vous en vendrez beaucoup beaucoup pour faire la nique à cet odieux entre-soi de l'édition Germanopratine et des médias qui en relaient les opinions amorales.
Anne Marie Désert (sur Amazon) Anne Marie Désert (sur Amazon) a écrit le 22 mars 2022 à 15h58
La belle écriture d'un livre courageux Quel courage il faut, pour dénoncer les dogmes de prétendue liberté sexuelle prônés par les intellectuels parisiens ! L'auteur a affronté des difficultés inimaginables, des hostilités stupéfiantes dans le milieu littéraire et éditorial parisien. Je me souviens d'avoir ouvert l'essai de Matzneff en 1974 chez un libraire, sans en croire mes yeux. Comment était-ce possible ? "Les moins de seize ans" ! "C'était l'époque", voilà ce que répètent tous les anciens soutiens de l'écrivain. On pourrait malheureusement dire aussi que "c'était la France". Mais pour finir ce livre met le doigt sur une évidence bien actuelle : contrairement à ce qu'on pourrait penser, jamais l'enfance n'a été autant en danger, aussi peu protégée, qu'en ce vingt-et-unième siècle qui trouve légitime d'accéder au désir d'un enfant de changer de sexe, par exemple.
Joanna Joanna a écrit le 6 mars 2022 à 15h57
Livre révoltant (Amazon) Livre absolument révoltant, d'une grande franchise. On ressort ahuri de sa lecture.
Nourjehan Viney Nourjehan Viney de Joigny a écrit le 29 janvier 2022 à 11h28
Voici ce que j'ai publié sur Facebook en commentaire et destinée à Francesca Gee le 29/01/22. "Bonjour Francesca. Pour moi qui eue le plaisir de travailler avec toi, j’ai découvert ton histoire dans « l’arme la plus meurtrière ». J’étais sidérée par ce que tu as vécue. J’étais sidérée par le comportement de ce connard, de ce pervers notoire qu’est Matzneff, par l’attitude de ton entourage, par le soutien et la protection puante dont il jouissait, par la mentalité de l’époque qui tolérait la manipulation, la perversité, le crime d’abus de faiblesse jusque sur ses plateaux télé (car je crois comme toi qu’il faut foutre la paix à un enfant et lui laisser vivre sa vie d’enfant, l’encourager plutôt que de l’humilier en permanence. Qu’un adulte en fasse un objet sexuel est un crime atroce et la place de Matzneff est dans une prison (ou bien dans un tonneau vide que l’on jetterait dans l’océan). Je suis heureuse d’avoir lu ton témoignage que je ne manquerai pas de partager. Ton écriture est fluide. J’aime beaucoup ton style qui décrit sans concessions l’horreur, le piège dans lequel tu étais enfermée, ton désarroi, la peur qui t’asphyxiait. Tu es ressortie de ce cauchemar plus forte et ton témoignage est précieux. J’aurai toujours un grand plaisir de te revoir et de te lire. Je t’embrasse fort, Nourjehan"
Hugues Honoré Hugues Honoré a écrit le 13 janvier 2022 à 16h19
Un des meilleurs livres que j'aie lus en 2021, tout simplement
Papeti Papeti a écrit le 9 janvier 2022 à 14h23
Témoignage à lire absolument. Pour moi, il devient inséparable de ceux de Vanessa Springora et de Camille Kouchner. La Familia Grande, dans tout ce qu'elle a de malsain, cet entre-soi germanopratin qui est à vomir. Ces écrivains qui se croient grands et qui se permettent le pire sont une honte Et non, ce n'était pas dans l'air du temps, "à leur époque". Pour leur petit monde pourri peut-être, mais pas par la majorité d'entre nous. Denise Bombardier a sauvé notre honneur. Je ne supporte plus de voir tous ces vieux mâles blancs pérorer sur les plateaux de télévision. Francesca GEE a été obligée de s'autoéditer à cause de tout ce petit monde pourri. Edifiant. Salutaire.
Elie (Amazon) Quel fantastique témoignage ! Quel magnifique style ! Elie (Amazon) Quel fantastique témoignage ! Quel magnifique style ! a écrit le 2 janvier 2022 à 13h55
Après avoir lu "Le Consentement", je viens de terminer la lecture de ce livre tellement édifiant. J'en recommande chaudement la lecture même si vous avez lu le livre de Vanessa Springora.
Mia Mia a écrit le 14 décembre 2021 à 14h23
Avant Vanessa, il y a Francesca. Seize ans avant « Le consentement », il y a un manuscrit que Francesca Gee propose chez Albin Michel, au Seuil, aux Arènes, chez Bayard puis chez Grasset. Un manuscrit qui met en lumière la relation toxique et abusive de l'écrivain G. Matzneff sur la jeune fille qui a alors 15 ans. Un manuscrit qui ne trouvera pas publication chez ces éditeurs complaisants. L'aveuglement d'une certaine élite sur la question des abus sexuels sur mineurs paraît aujourd'hui sidérant. Il suffit de revoir, entre autre, l'extrait d'Apostrophes avec Pivot en 1986 lorsque qu'Eva Thomas prend la parole pour témoigner de sa souffrance de victime d'inceste et d'observer la violence du déni qui lui est opposé pour comprendre l'esprit d'une certaine époque… Les témoignages de Francesca Gee et de Vanessa Springora concordent sur bien des points. G. Matzneff a maintes fois décrit ces femmes comme deux des trois grands amours de sa vie. Il leur a consacré des journaux intimes, des romans, des poèmes et des essais — des ouvrages qui ont servi de caution intellectuelle à nombre prédateurs s'attaquant à des enfants prépubères ou à des adolescentes. Des ouvrages dans lesquels il a intégré de nombreuses lettres écrites par la jeune Francesca alors sous emprise et qui vont servir de véritable plaidoyer pro-pédophilie. Son image sera également utilisée sans aucun accord préalable. Francesca Gee s'est auto publiée. Son témoignage n'a pas suscité la couverture médiatique qu'il aurait mérité. le New York Times s'y est en revanche intéressé au point de faire sa propre enquête et de confirmer que l'une des raisons du refus de son manuscrit à l'époque était l'influence de G. Matzneff et de son entourage dans le monde éditorial français. Une autre révélation également confirmée par le New York Times est le rôle joué par l'ancienne ministre de la santé Michèle Barzach, gynécologue, dans la relation entre l'auteur alors âgé de 37 ans et Francesca Gee, âgée de 15 ans. le couple aurait à plusieurs reprises consulté celle qui présida de 2012 à 2016 le Comité français pour l'Unicef, (l'organisation des Nations unies pour l'enfance) et qui n'avait alors aucun scrupule à prescrire la pilule à la jeune fille sur demande de son astre déviant…
7 décembre 2021 7 décembre 2021 a écrit le 7 décembre 2021 à 15h28
Oui, bravo pour la qualité de votre livre (les qualités devrais-je dire) mais aussi pour votre ténacité, et votre courage, car j’imagine qu’il en faut pour affronter les requins de l’édition et les autres. J’espère que cet aboutissement vous permet de trouver l’apaisement auquel vous avez droit, et enfin la sérénité ?
2 décembre 2021 2 décembre 2021 a écrit le 2 décembre 2021 à 15h27
Je viens de lire votre livre bouleversant. Je suis scandalisé. Après avoir lu le livre de Vanessa Springora, je pensais avoir fait le tour du sujet. Votre livre va plus loin il accuse un système et ses serviteurs dociles et complices ! La baudruche va t-elle éclater au grand jour ; après : Duhamel, Hulot, etc etc etc... la soprano Chloé Briot... quand le classement sans suite se profile dans la plupart des plaintes déposées ? Et décourage les victimes. Merci pour votre livre et les dénonciations que vous portez. Né en 1944 je suis de plain pied dans votre tragédie.
16 novembre 2021 (sur amazon.fr) 16 novembre 2021 (sur amazon.fr) a écrit le 16 novembre 2021 à 15h26
Encore mieux que Vanessa Springora, ce livre noircit l’aura de Matzneff. De plus l’écriture est plus littéraire, plus subtile, le témoignage plus percutant. Dans la seconde partie du livre, l’autrice met en cause de nombreuses personnes de la mafia germanopratine. Non seulement les écrivains mais aussi les éditeurs. Encore une fois, le courage est dans le camp de Francesca Gee, et si peu parmi les éditeurs. Il est vraiment aberrant quelle ait dû publier elle même ce très bon livre. La différence de traitement médiatique entre le livre de Vanessa Springora et celui-ci laisse pantois. Quand le Consentement trônait partout en tête de gondole de la littérature, ce livre est relégué au fond de la librairie du rayon média et communication !!
P.M. P.M. a écrit le 11 novembre 2021 à 17h14
La seconde [question] touche au contenu de vos beaux et forts chapitres, tantôt pleins de colère, parfois émus d'une jeunesse candide mais bafouée. Vraiment bravo d'autant plus que, directeur d'institution éducative pour l'accueil d'adolescent.e.s violé.e.s, battu.e.s, mais sous un tout autre angle, j'étais confronté à ces horreurs. A l'époque des parutions des pages de G.M. cette littérature ne pouvait m'échapper. Fasciné, scandalisé, d'autres fois interrogé jusqu'à intéressé, surtout les fondements de ses attitudes et de celles de la société me restaient mystérieuses dans leurs dimensions si paradoxales. Se dire dans la loi, comme G.M. est en même temps hors la loi, voir les édiles et élus le soutenir, le promouvoir encore de fait,....que de contradictions. Comment penser les situations paradoxales pour s'en sortir et aller au mieux voire bien être ? 
cberard cberard de caen a écrit le 29 octobre 2021 à 21h14
le récit est factuel et sensible. le livre, acheté dans une librairie indépendante, devrait être lu dans les collèges et lycées. Merci à Madame Francesca Gee pour son combat.
29 octobre 2021 29 octobre 2021 a écrit le 29 octobre 2021 à 14h25
Bonjour Je voulais vous remercier pour votre livre , qui a de singulières résonances en moi [...]. Votre analyse me permet de comprendre […]. Votre témoignage va me permettre d’avancer . Encore merci d’avoir pu l’écrire et de devenir ainsi le porte-parole des victimes anonymes.