Depuis 2004 je dénonce le pédocriminel revendiqué qu’est Gabriel Matzneff, ainsi que les étonnantes protections dont il jouit ; depuis 2004 tout est fait pour me réduire au silence.

Alors même que le témoignage de Vanessa Springora est paru en janvier 2020 avec une importante couverture médiatique, tous les efforts étaient faits pour étouffer mon travail, beaucoup plus factuel et précis.

Depuis trois ans, toutes les intimidations sont bonnes pour me faire taire, alors que je ne dis rien qui ne soit de notoriété publique, à savoir :

  • que depuis les années 1970 au moins et jusqu’en 2020 Matzneff a été subventionné par tous les gouvernements, droite et gauche confondues, et mis à l’abri des poursuites ;
  • que les éditeurs de Vanessa Springora sont ceux qui, des décennies durant, ont promu et défendu Matzneff avant d’organiser sa démolition contrôlée.

Au-delà de mes mésaventures personnelles, je suis préoccupée par le fait que le débat reste entièrement verrouillé ; Matzneff et ce qu’il appelle « les réseaux de ma secte » sont un sujet toujours aussi brûlant, qu’il est interdit d’aborder. Pourquoi ?

Vous trouverez en pièces jointes trois courriers qui témoignent des persécutions que je subis :

1) une lettre à la maison Grasset, lui demandant raison de ses menaces et injures publiques à mon égard ;

2) un courrier d’avocat adressé à une personne missionnée pour empêcher, coûte que coûte, la parution de mon livre L’Arme la plus meurtrière (https://laboccadellaverita.net/) alors même qu’elle faisait mine de travailler pour moi ;

3) une lettre détaillée à la société Pollen Difpop, avec laquelle j’avais signé un contrat pour la distribution de L’Arme la plus meurtrière et qui a tout fait pour en saboter la commercialisation avec la complicité de certains libraires, au premier chef le groupe FNAC.

Ces trois courriers dénoncent un échantillon de comportements frauduleux voire mafieux dont se sont rendues complices plusieurs dizaines de personnes ; tout ce que j’y dis peut être vérifié. Aucun de ces courriers n’a reçu de réponse.

Pourquoi est-il interdit de s’interroger sur les relations de Gabriel Matzneff avec le pouvoir politique et médiatique ? Qu’y a-t-il de si grave qu’il faille à tout prix le cacher au public ?

Le viol des mineurs est l’une des formes de criminalité les plus dangereuses ; or Matzneff lui-même l’a dit : « Je ne suis pas le seul ». Il est essentiel de faire la lumière sur de tels agissements.

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